sábado, 20 de diciembre de 2014

Charles Baudelaire's Fleurs du mal

Charles Baudelaire's
Fleurs du mal / Flowers of Evil




Présentation des Fleurs du Mal
Ce recueil de 100 poèmes a été publié le 25 juin 1857 à Paris chez Poulet-Malassis. Ces poèmes sont répartis en 5 sections comportant respectivement 77, 12, 3, 5 et 3 poèmes. Ils sont précédés d'une dédicace à Gautier et du poème au lecteur.

Les 5 sections initiales sont : Spleen et Idéal, Le Vin, Fleurs du Mal, Révolte et La Mort.

Une seconde édition augmentée de 35 poèmes nouveaux (et d'une section inédite : Tableaux parisiens) est publiée en 1861. L'édition définitive des Fleurs du Mal a été publiée en 1868, après la mort de Charles Baudelaire (1821-1867).

Ce recueil est mal accueilli, par la critique. Seuls quelques-uns, dont son ami Barbey d’Aurevilly, défendent la poésie de  Charles Baudelaire. Le 5 juillet 1857 parait un violent article du Figaro, qui tout à la fois assure une grande notoriété au poète et le conduit devant les tribunaux.

En août 1857, six mois après le procès de Madame Bovary (pour des chefs d'inculpation similaires: immoralité et obscénité), Baudelaire est condamné ( Flaubert ne l'avait pas été)  pour "offense à la morale publique, ... la morale religieuse et aux bonnes mœurs". Il est condamné à 300 francs d'amende et à la suppression de six poèmes. Ces 6 poèmes seront publiés à nouveau, en 1864, en Belgique dans le Parnasse satyrique du dix-neuvième siècle.

Baudelaire a apporté un soin particulier à la disposition de son recueil. Les Fleurs du Mal ne sont pas une succession de poèmes qui prennent place au fur et mesure de l’inspiration de l’auteur. Baudelaire les a disposés suivant un itinéraire bien précis. Il est d'ailleurs une lettre célèbre adressée en 1861 par Baudelaire à Vigny : " le seul éloge que je sollicite pour ce livre est qu'on reconnaisse qu'il n'est pas un pur album et qu'il a un commencement et une fin."

L'édition définitive des Fleurs du mal a la structure suivante:


    Spleen et Idéal (poèmes I à LXXXXV)
    Tableaux parisiens (poèmes LXXXXVI à CIII)
    Le Vin (poèmes CIV à CVIII )
    Fleurs du Mal (poèmes CIX à CXVII )
    Révolte (poèmes CXVIII à CXX)
    La Mort (poèmes CXXI à CXXVI)


A la Lettre link
Les fleurs du mal
Les Fleurs du mal analisé 1
Les Fleurs du mal analisé 2
Les Fleurs du mal expliqué



Two editions of Fleurs du mal were published in Baudelaire's lifetime — one in 1857 and an expanded edition in 1861. "Scraps" and censored poems were collected in Les Épaves in 1866. After Baudelaire died the following year, a "definitive" edition appeared in 1868.

L'Ennemi

Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage,
Traversé çà et là par de brillants soleils;
Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage,
Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils.

Voilà que j'ai touché l'automne des idées,
Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux
Pour rassembler à neuf les terres inondées,
Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux.

Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve
Trouveront dans ce sol lavé comme une grève
Le mystique aliment qui ferait leur vigueur?

— Ô douleur! ô douleur! Le Temps mange la vie,
Et l'obscur Ennemi qui nous ronge le coeur
Du sang que nous perdons croît et se fortifie!

— Charles Baudelaire



Les fleurs du mal
http://fleursdumal.org/poem/109

Fleurs du mal / Flowers of Evil. 1857 Edition

Baudelaire's poetry was well-known long before it was collected in Les Fleurs du mal in 1857. A few scattered poems had appeared in journals and reviews, and Baudelaire had also achieved notoriety reciting his lurid verses aloud. Several times he announced that he was going to publish a collection of poems, giving titles such as Les Lesbiennes (The Lesbians) and Les Limbes (Limbo). However, the definitive title was not to come until 1855, when "fleurs du mal" was suggested by his friend Hippolypte Babou, and publication was not to come until 1857, when his friend Auguste Poulet-Malassis printed the first edition of "ces fleurs maladives," as Baudelaire wrote in the dedication.

Les Fleurs du mal appeared on the bookshelves of Paris in June 1857. Eleven hundred copies had been printed for sale, with an additional twenty copies hors commerce printed on fine paper. Within a month, the French government initiated an action against the author and the publisher, accusing them of outrages to public morality. On August 20th, a French court acknowledged the literary merit of the book as a whole but demanded that six poems be deleted on moral grounds. In a pattern now familiar, however, the trial only served to create a sensation, and by the following summer the initial printing of Les Fleurs du mal was sold out.

The six poems censored from the first edition are indicated below by red guillemets like this ».

Les fleurs du mal
http://fleursdumal.org/1857-table-of-contents



La littérature française chez moi


Je veux finir l'année avec cette revue de la littérature française principallement. Je présente parce que je satisfais mon esprit. C’est une oasis où je peux oublier le jour à la misère à laquelle je fais face et pour un moment, je suis rassuré.



Regardez La Grande Librairie spéciale "Les 20 livres qui ont changé votre vie"

A l'occasion des 20 ans de France 5, nous vous avons donné la parole pou vous demander “Quel livre a changé votre vie ?". Vous avez été des milliers à répondre à cette question depuis la rentrée littéraire et nous vous en remercions.
 
Pour dévoiler et commenter ce classement inédit, François Busnel s'est entouré de passeurs et d’amoureux des mots : Jean d’Ormesson, Boris Cyrulnik, Amélie Nothomb, Erik Orsenna, Jean Teulé, Marie-Hélène Lafon.
Plus d'infos

Les livres
    Le Petit Prince     Antoine de Saint-Exupéry
    Gallimard jeunesse / 2013

    « J'ai ainsi vécu seul, sans personne avec qui parler véritablement, jusqu'à une panne dans le désert du Sahara, il y a six ans. ...
  
 L'étranger     Couverture l'étranger Albert Camus
    L'étranger     Albert Camus     Gallimard / 1972
    Condamné à mort, Meursault. Sur une plage algérienne, il a tué un Arabe. À cause du soleil, dira-t-il, parce qu'il faisait chaud. On n'en tirer...
   
    Voyage au bout de la nuit     Louis-Ferdinand Céline     Gallimard / 2011
    «– Bardamu, qu'il me fait alors gravement et un peu triste, nos pères nous valaient bien, n'en dis pas de mal!...
    – T'as raison, Arthur,...     L'écume des jours     Boris Vian
    Lgf / 1997     Biographie

    Boris Vian, né le 10 mars 1920 et décédé le 23 juin 1959, est une figure mythique du Paris d'après-guerre. Il...

    A la recherche du temps perdu Proust     Marcel Proust     1913

   À l’instant où je mis en bouche la madeleine, je fus pris d’une étrange sensation : les souvenirs de mon enfance ressuscitèrent. En même temps que...

    Alain Fournier Le Grand Meaulnes      1913
    À la fin du XIXe siècle, par un froid dimanche de novembre, un garçon de quinze ans, François Seurel, qui habite auprès de ses parents instituteur...

    L'Alchimiste     Paulo Coelho

    Anne Carrière     Belle du seigneur
    Albert Cohen     Gallimard / 2011

    « Solennels parmi les couples sans amour, ils dansaient, d'eux seuls préoccupés, goûtaient l'un à l'autre, soigneux, profonds, perdus. Béate d'...

    Les Fleurs du Mal     Charles Baudelaire     Gallimard / 2005

    Charles-Pierre Baudelaire est un poète français, né à Paris le 9 avril 1821 et mort dans la même ville le 31 août 1867 (à 46 ans). A la n...

    La peste     Albert Camus     1947
    «– Naturellement, vous savez ce que c'est, Rieux?
    – J'attends le résultat des analyses.
    – Moi, je le sais. Et je n'ai pas besoin d'a...
 
  Harry Potter
    Harry Potter à l'école des sorciers
    J. K. Rowling     Gallimard-Jeunesse / 1997
    Harry Potter à l'école des sorciers est le premier tome des aventures du jeune sorcier Harry Potter.
    Résumé :     Harry Potter est un garçon ordinaire. Ma...
    1984

   George Orwell
    Folio / Gallimard / 1972     448 p. - 8,40 €

    "De tous les carrefours importants, le visage à la moustache noire vous fixait du regard. Il y en avait un sur le m...

    Le monde selon Garp     John Irving     1978
 
  Jenny Fields ne veut pas d’homme dans sa vie mais elle désire un enfant. Ainsi naît Garp. Il grandit dans un collège où sa mère est infirmière. Pu...
   
    Crime et Châtiment :     Dostoievski     1866
    «Raskolnikov se mit à trembler de tout son corps comme un homme frappé d'un coup terrible.- Mais... alors... qui... est l'assassin ? balbutia...
   
    Le seigneur des anneaux     J.R.R. Tolkien
     Une contrée paisible où vivent les Hobbits. Un anneau magique à la puissance infinie. Sauron, son créateur, prêt à dévaster le monde entier ...

    Le Parfum     Patrick Süskind     1986
    Au XVIIIe siècle vécut en France un homme qui compta parmi les personnages les plus géniaux et les plus horribles de son époque. Il s'appelait Jean-Baptiste Grenouille. S...

    Le Journal d’Anne Frank     Anne Frank     1947
    C'est d'abord pour elle seule qu'Anne Franck entreprend l'écriture de son journal le 12 juin 1942. Mais au printemps 1944, le gouvernement néerlan...

    Madame Bovary     Gustave Flaubert     1857
    C'est l'histoire d'une femme mal mariée, de son médiocre époux, de ses amants égoïstes et vains, de ses rêves, de ses chimères, de sa mort. C'est ...

    Les Misérables     Victor Hugo, Guy Rosa     Lgf / 1998

    Tant qu’il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers...

Link a la emisión de Paris5


Le français aujourd’hui: Du François au français
Naissance et évolution du français

Le français est une langue romane. Sa grammaire et la plus grande partie de son vocabulaire sont issues des formes orales et populaires du latin, telles que l’usage les a transformées depuis l’époque de la Gaule romaine. Les Serments de Strasbourg, qui scellent en 842 l’alliance entre Charles le Chauve et Louis le Germanique, rédigés en langue romane et en langue germanique, sont considérés comme le plus ancien document écrit en français.

Au Moyen Âge, la langue française est faite d’une multitude de dialectes qui varient considérablement d’une région à une autre. On distingue principalement les parlers d’oïl (au Nord) et les parlers d’oc (au Sud). Avec l’établissement et l’affermissement de la monarchie capétienne, c’est la langue d’oïl qui s’impose progressivement.

Mais on peut dire que la France est, comme tous les autres pays d’Europe à cette époque, un pays bilingue : d’une part, la grande masse de la population parle la langue vulgaire (ou vernaculaire), qui est aussi celle des chefs-d’œuvre de la littérature ancienne (la Chanson de Roland, le Roman de la rose...) ; d’autre part, le latin est la langue de l’Église, des clercs, des savants, de l’enseignement, et c’est aussi l’idiome commun qui permet la communication entre des peuples aux dialectes plus ou moins bien individualisés.

Malgré la progression continue du français, cette coexistence se prolonge jusqu’au XVIIe siècle, et même bien plus tard dans le monde de l’Université et dans celui de l’Église.

Link a la page de l'Academie française



La littérature aujourd’hui : populaire ?
Sylvie Ducas
Dans son célèbre essai – La crise de la culture –, Hannah Arendt invite à resituer le débat public sur la culture – et donc la culture littéraire qui nous intéresse ici – dans des problématiques où les questions de l’autorité, de la liberté, de l’éducation et du goût, centrales pour qui réfléchit à ce que « culture » veut dire, sont réinterrogées à l’aune d’une société de consommation et d’une culture de masse qui sont bien encore les nôtres, dans lesquelles la littérature, transformée en simple objet de loisir et de divertissement, se dévoie, jusqu’à se vendre aujourd’hui, selon certains, « à prix cassés 1 » sur le marché des biens culturels.

Une soixantaine d’années ont passé depuis ce constat critique. Or qu’en est-il de la culture littéraire en régime démocratique et marchand ? Comment ressaisir, à partir de cette question, toute la polysémie de l’adjectif « populaire », à savoir : « ouvert au plus grand nombre, au plus large public », voire lié aux industries de masse, mais aussi « ayant du succès, de la popularité », et réfléchir aux enjeux culturels de cette littérature dite « grand public », aux formes nouvelles et plurielles qu’elle revêt, à l’heure d’une prescription littéraire de plus en plus conditionnée par l’hyperchoix et/ou la révolution numérique du web 2.0 2 ?

Sans prétendre à un bilan exhaustif de la production littéraire dite de masse aujourd’hui, de sa popularité et de son succès via les circuits de grande production et de grande diffusion qui sont les siens – et à laquelle nous limitons cette étude –, nous adopterons toutefois le parti pris d’une littérature au pluriel, comme Michel de Certeau parle d’une « culture au pluriel ». 

Autrement dit, une ou des littérature(s) capable(s) de donner « forme neuve au présent et produire ces voyages de l’esprit sans lesquels il n’est point de liberté 3 », non sans lucidité toutefois quant aux enjeux commerciaux et/ou politiques que recouvre cette « combinatoire de forces en compétition ou en conflit développ[ant] une multitude de tactiques en des espaces organisés à la fois par des contraintes et des contrats », cette « prolifération d’inventions en des espaces contraints 4 » qu’on appelle « culture ». 

Littérature dite « générale », donc, selon le jargon des éditeurs, mais aussi littératures au succès populaire lié à une industrie culturelle (le livre bon marché reproductible en masse), littératures des « mauvais genres » aussi (bande dessinée, manga, littératures de l’imaginaire, littérature policière), longtemps dévaluées mais actuellement en pleine voie de reconnaissance, ou encore littérature(s) en réseau 5, que certaines enquêtes de terrain nous ont permis d’étudier et de questionner.

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Marguerite Duras MARGUERITE DURAS (1914-1996)

Marguerite Duras
MARGUERITE DURAS
(1914-1996)





Marguerite Duras (de nombre real Marguerite Donnadieu) nació el 4 de abril de 1914 en Gia Dinh (Vietnam), localidad cercana a Saigón que por aquella época pertenecía a la Indochina francesa.

Marguerite Duras, para quien escribir era "aullar sin ruido" y confesar se dedicó con vehemencia toda su vida a escribir. Los libros de la escritora francesa, son un clásico de la literatura universal.

El amante deslumbró por la sinceridad que derramó Duras al relatar su intimidad y sexualidad. Su padre, profesor de matemáticas y colono, murió cuando ella tenía cuatro años. Su madre, maestra, que tuvo otros dos hijos después, se dedicó a cuidar las tierras en una precaria situación económica, y aceptó que, al menos por una vez, su jovencísima hija Marguerite se prostituyera.
 
Una experiencia que dejó una marca imborrable en Marguerite Duras, que alimentó su escritura y empezó a esculpir como en el barro las arrugas de su vida, que luego plasmaría en El amante, la novela con la que ganó el premio Goncourt en 1984, que fue todo un éxito, traducido a 40 idiomas. "Fue esa tarde cuando Léo me besó en la boca. Lo hizo por sorpresa. Experimenté una repulsión verdaderamente indescriptible..."
 
Así escribe Marguerite Duras su encuentro con el que sería el protagonista de El amante. "A los 18 años envejecí" Y también, "A los 18 años envejecí. No sé si a todo el mundo le ocurre lo mismo...ese envejecimiento fue brutal", decía Duras, dando prueba de que la autora francesa no escribió una sola línea que no hubiese vivido. Convirtió su vida en su propio material literario. Al morir, dejó tras ella 19 películas y más de 50 textos entre novelas, relatos, obras de teatro y guiones


L'Amant: Marguerite Durás

El amante deslumbró por la sinceridad que derramó Duras al relatar su intimidad y sexualidad, en la compleja relación que mantuvo con Léo, el comerciante chino al que conoció en un transbordador que cruzaba el río Mekong, cuando ella tenía quince años y él veintiséis. El éxito de
El amante le llegó cuando ella tenía 70 años, pero en su vida no hizo otra cosa que escribir, escribir novelas, cine o teatro, para chillar en silencio contra el olvido.

Cuando murió, Marguerite Duras dejó tras ella 19 películas y más de 50 textos entre novelas, relatos, obras de teatro y guiones de cine, sin contar con los numerosos artículos escritos en prensa. Una vida que estuvo marcada por una dura infancia y adolescencia pero también por su juventud en un contexto político explosivo. A los 18 años Duras se trasladó a París a estudiar Derecho, Matemáticas, Ciencias Políticas y Económicas.

Todos los hombres son homosexuales en potencia, sólo les falta saberloDuras se casó en 1939 con el escritor Robert Antelme, autor de La especie humana, quien fue delatado y arrestado por la Gestapo en 1942 y llevado a Buchenwald. Ella se enroló también en las filas de la Resistencia y allí conoció a François Mitterrand y a Dyonis Mascolo, con quien tuvo un hijo, Jean Mascolo.

Militante del Partido Comunista Francés, que abandonó pronto, Marguerite Duras también fue deportada a Alemania. Pero una vez terminada la guerra se diluyó en la escritura y el alcohol. Sus primeros relatos aparecieron en la revista Les temps modernes, fueron considerados de tono existencialista pero luego, ya en los años 50, se la calificó como la figura del Nouveau roman. Su primera novela

En 1943 publicó su primera novela, Los impúdicos, a la que siguieron La vida tranquila y su dedicación también al cine como guionista y más tarde como realizadora. Fue guionista de Hiroshima, mon amour, el gran éxito de Alain Resnais, y dirigió India Song y Noche negra en Calcuta.


Toda su obra lleva su carne como nutriente y todo su universo sensitivo, por eso terminó exhausta y con varios comas etílicos. Su escritura depurada hasta el máximo, lírica, muy sintética y llena de música es un sello inconfundible de la autora de El amante de la China del Norte, El amor, Escribir, Los ojos azules pelo negro, El arrebato de Lol V.Stein o Emily L, entre otros títulos. Libros que están todos ellos en la editorial Tusquets, que acaba de reeditar su obra.

Marguerite Duras pasó los últimos años de su vida, hasta su muerte en 1996, con Yann Andrea, su último amante, compañero, cocinero y chófer, 40 años menor que ella y homosexual. "Todos los hombres son homosexuales en potencia, solo les falta saberlo", escribió Duras. En la actualidad, la obra completa de esta escritora forma parte del catálogo de la prestigiosa colección de La Pléiade, de Gallimard, donde están los clásicos. *Consigue toda la obra de la autora francesa en PopularLibros.



La figure de l'alterité dans "L'Amant de la Chine du Nord" de Marguerite Duras

Quién hubiese pensado que en sus primeros libros, Los caballos de Tarquinia o Un dique contra el pacífico y La vida tranquila, Marguerite Duras escribía bajo la influencia de Hemingway y de Faulkner, autores que formaban parte de las lecturas, ella, que leyó muchísimo, la que se había imaginado escribiendo, desde niña, frente a su madre, sentada a una mesa, sin hacer caso a su indiferencia. Que una niña de doce años dijese que iba a escribir no tendría mayor importancia, eso importaba para los hijos hombres, pero para ella será una manera de extraer cosas que se "quedan en el cuerpo sin enunciarse", una forma de nacer de nuevo al mundo, de emerger hasta parecerse a ese rostro destruido de sus últimos años.

Conocemos esa frase que alguien le dice en un vestíbulo de su libro El amante: "Me dijeron que usted era bella, pero ahora me parece mucho más hermosa, con ese rostro devastado".
Reseña del artículo “Marguerite Duras o la sagrada escritura”

Reseña del artículo “Marguerite Duras o la sagrada escritura”

En este breve ensayo Greta Rivara realiza un comentario en torno a algunos aspectos de la obra de Marguerite Duras, una de las autoras más importantes de la llamada nouveau roman y de la literatura contemporánea en general. Puede leerse el texto completo aquí.

Rencontrés a Durás