sábado, 22 de febrero de 2020

Georges Valois:

Georges Valois

Compilación: Cayetano Acuña Vigil


Valois trabaja en Francia como político entre las dos guerras mundiales, buscando una nueva forma de organización económica y social, así como la síntesis de lo nacional y lo social, oscila entre las ideas radicales de la izquierda y la derecha. 

En sus obras se puede descubrir como una galería donde se cruzan retratos de figuras emblemáticas desde Charles Maurras a Benito Mussolini a través de François Coty y frescos de orígenes muy diversos: Acción francesa, el mundo de la prensa y la publicación, las esferas de empleadores, y la formación de "equipos jóvenes".

Más allá de su itinerario, Valois restaura la de un grupo, que cruza esta "generación realista" de la cual es una figura guardiana y el principal editor de su librería. Se convirtió en discípulo de Georges Sorel, lo cual es un gran apoyo en su formación.

Georges Valois se unió al movimiento de Charles Maurras en el verano de 1906 en el que vio un medio de enfrentar politicamente el capitalismo. De 1923 a 1925, editó la publicación mensual Les Cahiers des Etats Généraux. Se unió a la Resistencia, pero murió en la deportación a Bergen-Belsen en febrero de 1945.





Georges Valois, mort pour la France, de son vrai nom Alfred-Georges Gressent (1878 – 1945), était un homme politique français. Recherchant une nouvelle forme d'organisation économique et sociale ainsi que la synthèse du national et du social, il a oscillé entre les radicalités de gauche et de droite. Arrêté à l'Hôtel d'Ardières, aux Ardillats, par la Gestapo le 18 mai 1944, il meurt du typhus à Bergen-Belsen en février 1945.

L'Hôtel d'Ardières était une structure qu'il avait achetée pour développer ses ultimes activités, dont la Résistance, et qui était gérée de manière coopérative par l'« Association des amis du Val d'Ardières ».

Biographie

Issu d'une famille paysanne et ouvrière, Georges Valois est né le 7 octobre 1878 à Paris. Son père est un Normand venu s'installer à Montrouge exercer la profession de boucher. Il meurt cependant accidentellement peu après la naissance de son fils.



De l'anarchisme à l'Action française, du fascisme à son retour vers la gauche et dans la République, jusqu’à sa mort en déportation, le parcours de Georges Valois (1878-1945) est emblématique des mutations et des reclassements à l’œuvre dans la France de l’entre-deux-guerres.

L’Homme contre l’argent. Souvenirs de dix ans 1918-1928, ouvrage publié en 1928 et aujourd’hui introuvable devait être réédité. Il peut se découvrir comme une galerie où se croisent des portraits de figures emblématiques (de Charles Maurras à Benito Mussolini en passant par François Coty) et des fresques de milieux très divers (Action française, monde de la presse et de l’édition, sphères patronales, « jeunes équipes » en voie de formation).

Valois propose aussi le récit de temps forts qui jalonnent sa propre vie en même temps qu’ils marquent la France de son temps : promotion d’une « économie nouvelle », dissidence de l’Action française, naissance d’un « fascisme français », crise monétaire et stabilisation Poincaré, impasse des solutions traditionnelles pour adapter la France à une modernisation nécessaire au-delà des voies tracées par le monde anglo-saxon et l’URSS, nécessité de « nouvelles équipes » pour concevoir et mettre en œuvre, contre la « dictature » de l’argent, une troisième voie « réaliste », un « nouvel âge ».

Au-delà de son itinéraire Valois restitue celui d’un groupe, qui croise cette « génération réaliste » dont il une figure tutélaire et l’éditeur majeur dans sa librairie

Débuts à gauche




Georges Valois milite d'abord dans des mouvements anarchistes, et collabore au journal L'Humanité nouvelle. Il devient le disciple de Georges Sorel, théoricien du syndicalisme révolutionnaire, et se lie d'amitié avec le jeune Henri Lagrange.
Convergences entre Action française et syndicalisme[modifier | modifier le code]

Ayant découvert seul la monarchie et le catholicisme, Georges Valois adhère à l'été 1906 au mouvement de Charles Maurras dans lequel il voit une arme révolutionnaire contre le capitalisme. Il suit à l'Action française les questions ouvrières, et est le maître d'œuvre du Cercle Proudhon (1911), qui croit mettre en œuvre la politique de Georges Sorel en unissant maurrassiens et syndicalistes révolutionnaires, mais aboutit à une impasse. On a pu dire que ses idées furent une préfiguration du fascisme, qui se concrétisera en Italie. 

Georges Valois faisait partie de ceux qui veulent pousser au bout la voie sociale ouverte par l'Action française. Il fut une des chevilles ouvrières de la Revue critique des idées et des livres, qui regroupa jusqu'à la guerre la fine fleur des intellectuels maurrassiens.

Le duc Jean de Guise, prétendant à la Couronne de France de 1926 à 1940, fit appel à Valois, «  ancien anarchiste converti au royalisme, qui avait rompu avec l'Action française en 1925 », pour servir de conseiller à son fils Henri (1908-1999), titré comte de Paris en juillet 19294.

De 1923 à 1925, il dirige le mensuel Les Cahiers des États généraux.
Le Faisceau, première tentative de fascisme français (1925-1928)

En 1925 avec les capitaux de deux industriels milliardaires, le parfumeur Francois Coty (1874-1934) et le producteur de cognac Hennessy (Jean Hennessy)4, Georges Valois fonde un nouveau mouvement, le Faisceau, premier mouvement fasciste non italien, et un organe de presse, Le Nouveau Siècle, qui échoueront très vite.

Il s'y oppose au journaliste Léon Chavenon, directeur de L'Information, qui dans un article du 14 mai 1925 suggère une augmentation rationnelle de la circulation monétaire, pour susciter une inflation contrôlée, gagée sur la production future6.

Malgré l'adhésion de Hubert Lagardelle (venu de la gauche) ou de Marcel Bucard (issu lui aussi de l'AF, et futur fondateur du Parti franciste, ouvertement fasciste), le Faisceau disparaît en 1928.




Retour à gauche (années 1930)

Par la suite, Valois crée le Parti républicain syndicaliste. Il change de disposition en 1934, en lançant le quotidien Nouvel Âge, en lui conservant le caractère corporatiste qui circule dans les milieux non-conformistes des années 1930. En 1935, il va même jusqu'à demander l'adhésion à la SFIO. Mais, malgré le parrainage de Marceau Pivert, l'adhésion lui est refusée. Proche du courant distributiste, il s'engagera dans la Résistance, mais meurt en déportation à Bergen-Belsen en février 1945.

Reference:

https://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Valois

CHARLES MAURRAS: Ref en:
https://percyacunnavigil.blogspot.com/2014/11/?m=0

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